Durcissement de la lutte contre la cybercriminalité en Russie!!
Salut à tous,
Aujourd'hui, on se retrouve pour parler des différents amendements que la Russie a décidé d'adopter durant le mois de février 2025. Cette réforme va avoir un impact sur différentes lois et doit protéger les citoyens et organisations face à la menace croissantes des cybercriminels.
C'est donc le lancement de nouvelles réglementations dans le pays pour venir instaurer des peines plus lourdes pour les cyberattaques, introduire des mesures dissuasives plus importantes comme la confiscation des biens acquis illégalement ainsi que d'autoriser l'extradition des criminels dans le but de renforcer la coopération internationale.
Désormais, le piratage des systèmes informatiques, le vol de données personnelles ainsi que les attaques contre des infrastructures critiques pourront, selon la gravité des faits, aller de 5 à 15 ans.
Les sanctions ont été revues pour les fraudes en ligne qui vont impliquer un grand nombre de victimes dont la peine peut aller jusqu'à 12 ans d'emprisonnement si le pirate s'est attaqué à des dizaines ou centaines de personnes. Le but est de venir dissuader les attaques massives envers les entreprises et citoyens.
Des peines pouvant aller jusqu'à 15 ans de prison pour les attaques contre des infrastructures critiques. Et, en dernier point, la confiscation des cryptomonnaies et des biens des cybercriminels. Le but est d'empêcher, tout simplement, les pirates de profiter de leurs gains ainsi que d'étouffer le financement de nouvelles opérations criminelles.
Pour terminer, la mise en place de procès publics pour les cybercriminels. La volonté du gouvernement russe est d'augmenter la transparence des enquêtes ainsi que de prouver que des actions concrètes sont mises en place au niveau de la société. Le fait d'organiser ce type de procès publics est également de dissuader les cybercriminels potentiels en leur montrant les conséquences de leurs actes.
Ajoutons que les cybercriminels ne pourront plus travailler dans le secteur informatique, le domaine financier ainsi que dans les agences gouvernementales pendant une période pouvant aller jusqu'à 10 ans après leur peine.
Pour les moyens apportés aux enquêtes, les agences de renseignement du pays vont disposer de nouveaux pouvoirs pour réaliser cette traque. L'utilisation d'outils renforcés dans le domaine de la surveillance ainsi que de l'analyse des données pour identifier rapidement les menaces.
Du côté des institutions financières, il leur sera possible de geler les comptes suspectés d'être liés à des activités illégales pour compliquer le blanchiment d'argent.
Pour le volet de la coopération internationale au niveau de la cybersécurité, la Russie a pris la décision de durcir les accords d'extradition afin de juger les cybercriminels qui essayeraient d'échapper à la justice en se rendant à l'étranger.
Désormais, le piratage des systèmes informatiques, le vol de données personnelles ainsi que les attaques contre des infrastructures critiques pourront, selon la gravité des faits, aller de 5 à 15 ans.
Les sanctions ont été revues pour les fraudes en ligne qui vont impliquer un grand nombre de victimes dont la peine peut aller jusqu'à 12 ans d'emprisonnement si le pirate s'est attaqué à des dizaines ou centaines de personnes. Le but est de venir dissuader les attaques massives envers les entreprises et citoyens.
Des peines pouvant aller jusqu'à 15 ans de prison pour les attaques contre des infrastructures critiques. Et, en dernier point, la confiscation des cryptomonnaies et des biens des cybercriminels. Le but est d'empêcher, tout simplement, les pirates de profiter de leurs gains ainsi que d'étouffer le financement de nouvelles opérations criminelles.
Pour terminer, la mise en place de procès publics pour les cybercriminels. La volonté du gouvernement russe est d'augmenter la transparence des enquêtes ainsi que de prouver que des actions concrètes sont mises en place au niveau de la société. Le fait d'organiser ce type de procès publics est également de dissuader les cybercriminels potentiels en leur montrant les conséquences de leurs actes.
Ajoutons que les cybercriminels ne pourront plus travailler dans le secteur informatique, le domaine financier ainsi que dans les agences gouvernementales pendant une période pouvant aller jusqu'à 10 ans après leur peine.
Pour les moyens apportés aux enquêtes, les agences de renseignement du pays vont disposer de nouveaux pouvoirs pour réaliser cette traque. L'utilisation d'outils renforcés dans le domaine de la surveillance ainsi que de l'analyse des données pour identifier rapidement les menaces.
Du côté des institutions financières, il leur sera possible de geler les comptes suspectés d'être liés à des activités illégales pour compliquer le blanchiment d'argent.
Pour le volet de la coopération internationale au niveau de la cybersécurité, la Russie a pris la décision de durcir les accords d'extradition afin de juger les cybercriminels qui essayeraient d'échapper à la justice en se rendant à l'étranger.
Commentaires
Enregistrer un commentaire