Critique de film #5 Alice: De l'autre Côté du Miroir!!

Salut les cinéphiles,

Êtes-vous prêts à me suivre de l'autre côté du miroir en la compagnie d'Alice qui retourne au Pays des Merveilles afin de sauver son meilleur ami, le Chapelier Fou? Oui, alors, c'est parti pour le voyage. J'ai été voir le film ce week-end.

Le chat de Cheshire


Comme d'habitude, on commence par la fiche technique du film:

Titre français: Alice: De l'autre Côté du Miroir
Titre original: Alice Through the Looking Glass
Réalisateur: James Bobin (Et, non, ce n'est pas Tim Burton et clairement, ça ne voit qu'il manque un peu de sa patte dans l’œuvre)
Scénariste: Linda Woolverton (la même que pour le premier) d'après l’œuvre de Lewis Caroll
Compositeur: Danny Elfman (Toi, tu es mon préféré)
Production: Tim Burton (tu étais donc là depuis le début), Joe Roth, Suzanne Todd et Jennifer Todd
Sociétés de production: Walt Disney Pictures, Tim Burton Productions, Roth Films et Team Todd
Distribution: Walt Disney Studios Distribution
Budget: 170 millions de dollars US
Pays et langue d'origine: Etats-Unis (anglais)
Genres: Fantastique et Fantasy
Durée: 113 minutes
Dates de sortie: États-Unis/ Canada: 27 mai 2016
France: 1er juin 2016

Affiche avec l'interprète d'Alice

A présent, on s'attaque à la distribution de celui-ci:

Mia Wasikowska: Alice Kingsleigh
Johnny Depp: Tarrant Hightopp, le Chapelier fou
Helena Bonham Carter: Iracebeth, la Reine Rouge
Anne Hathaway: Mirana, la Reine Blanche
Sacha Baron Cohen: Le Temps
Rhys Ifans: Zanik Hightopp
Matt Lucas: Tweedledee/ Tweedledum
Ed Speleers: James Harcourt
Andrew Scott: Dr Addsion Bennet
Stephen Fry: Chess, le Chat de Cheshire
Alan Rickman: Absolem, la Chenille
Michael Sheen: McTwisp, le Lapin Blanc
Barbara Windsor: Mallymkum, le Loir
Timothy Spall: Bayard, le Saint-Hubert
Paul Whitehouse: Le Lièvre de Mars, Thackery Earwicket
Matt Vogel: Wilkins
Leo Bill: Hamish
Richard Armitage: Le roi Oléron (père de la Reine Blanche et de la Reine Rouge)
Hattie Morahan: La reine Elsmere (mère de la Reine Blanche et de la Reine Rouge)

Le Grand Sacha Baron Cohen

Pour conclure, le bouquet final, la critique du film:

Pour une fois, je vais encore commencer par les points négatifs du film. Le premier est le fait que ce ne soit pas Tim Burton qui l'ait réalisé car on a l'impression qu'il manque quelque chose au film comme si sa patte n'y était pas. On a l'impression que James Bobin a voulu coller à l'esprit du premier mais sans vraiment y parvenir, on dirait qu'il essaie de faire son film en se disant que les gens veulent voir du Tim Burton donc on va leur donner ça mais il n'y parvient pas, le film est juste une inspiration de Tim Burton sans la patte de celui-ci, ce qui est bien dommage quand même. Le second porte sur les effets spéciaux notamment sur une scène du film où on voit un village brûlé avec Alice qui court. Quand on fait attention aux flammes, on voit clairement que c'est du numérique, cela sonne faux dans la scène et peut faire sortir du film comme je l'ai vécu. En voyant cette scène, je me suis dit: "Oh non, on voit clairement que c'est du numérique", cette réaction m'a alors sorti de l'immersion dans lequel je m'étais plongé en voyant le film. Le troisième porte sur le montage puisque l'on a l'impression qu'il est saccadé car, au moment, où une scène mériterait plus d'explications, on passe direct à une autre. De mon point de vue, j'ai trouvé que le montage n'était pas aussi bon que cela. A certains moments, on passait trop vite à une autre action, ce qui m'a un peu gêné notamment dans le traitement du personnage du Chapelier Fou. Ce sont les seuls points négatifs que j'ai relevé.
Concernant les points positifs, on va déjà dire le casting. Oh mon dieu, qu'il est bon. Les acteurs principaux, vous les connaissez, ils jouent tous très bien mais, en plus d'avoir le casting d'origine, il y a l'arrivée du Temps en la personne de Sacha Fucking Baron Cohen. Sérieux, en voyant le film, j'avais complètement oublié que c'était lui et tout le long, je me disais mais je l'ai déjà vu cet acteur mais où? Quand j'ai su que c'était lui, je me suis dit: "Il a vraiment bien joué" car quand on connaît ses autres rôles, c'est étrange de le voir dans un rôle de pseudo-méchant que ce soit dans sa manière de jouer, parler et déplacer. On voit clairement qu'il est fait pour ce rôle, c'est la meilleure prestation que j'ai retenu du film, il m'a encore plus impressionné. La musique est vraiment prenante, entre bien dans l'action et n'est pas trop agressive quand on sait que c'est Danny Elfman ma gueule qui l'a fait, on peut qu'être soulagé d'avoir une bande-son digne de ce nom. Pour ceux qui se demandent, quand on entend la chanson de Pink, c'est simple: au moment du générique. Les prises de vues sont magistrales, on ne sent bien dans tous ses grands espaces donnant une immersion totale lors de scènes totalement grandioses. Le pré-générique est vraiment beau puisqu'il est tout en dessin donc je vous laisserai le découvrir quand vous visionnerez le film. Le film contient énormément de références donc si vous commencez à l'analyser, vous n'avez pas fini notamment la famille avec la relation entre la Reine Blanche et la Reine Rouge ou l'histoire du Chapelier Fou, la vengeance, les réflexions sur le Temps où se demande si il est notre ami ou bien notre ennemi, la destruction d'une population ou encore les décisions familiales se centrant sur le choix qu'Alice à faire que je ne vais pas vous expliquer pour vous garder la surprise en vous laissant le découvrir. C'est donc un film très divertissant, intéressant et aussi qui pousse à la réflexion si on lit entre les lignes quand on commence à l'analyser.
Le film est d'ailleurs en mémoire de l'acteur Alan Rickman qui interprète Absolem, la Chenille et c'est un très bel hommage qu'il a eu.


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